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  1. Dans le langage courant, le mot “absurde” désigne ce qui n’a pas de sens (par exemple, une décision absurde). Ce concept a été défini par Camus dans Le Mythe de Sisyphe (1942), repris dans L’Etranger (1942), puis au théâtre dans Caligula et Le Malentendu (1944).

  2. La littérature de l'absurde, née dans l'entre-deux-guerres et poursuivie pendant la Seconde Guerre mondiale, illustre le désarroi de l'Homme, comme étranger face à un monde et à une existence dont il ne saisit plus le sens.

  3. Labsurde prend sa source dans la Seconde Guerre mondiale, qui laisse les hommes désemparés quant au sens de leur existence. Il se caractérise par le sentiment d’être étranger au monde et par le constat de l’absurdité de la condition humaine.

  4. La notion d’absurde est empruntée à la philosophie de Kierkegaard (1813- 1855) : c’est l’expression de l’impuissance de l’homme à trouver un sens à l’existence. 1. Les désillusions politiques. Une fois de plus, l’horreur de la guerre se manifeste comme une expérience dépourvue de sens, absurde.

  5. La notion d’absurde est empruntée à la philosophie : c’est l'expression de l'impuissance de l'homme à trouver un sens à l'existence, et de la confrontation de l’homme avec un monde qu'il ne comprend pas. Ainsi le mouvement littéraire absurde exprime l'absurdité de la condition humaine.

  6. Les formes littéraires de l'absurde. Pour rendre compte de l'état de conscience de leurs personnages et du dégoût qu'ils éprouvent face à cette existence dépourvue de sens, les auteurs exploitent les ressources du roman comme la technique de la focalisation interne ou du monologue intérieur.

  7. 20 juil. 2015 · Après avoir abordé le contexte d’apparition de ce mouvement et quelques auteurs ou topos emblématiques qui le représentent, le dossier se focalisera sur la question du héros absurde et de son univers, et plus particulièrement sur les stratégies littéraires utilisées pour les mettre en scène.