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  1. L'intervention non verbale (par signe) Cette façon d'intervenir préserve l'estime de soi chez l'enfant parce qu'il est le seul qui sait que l'éducatrice est intervenue. Il s'agit de faire un signe discret à l'enfant fautif pour arrêter un comportement.

  2. Les besoins fondamentaux des enfants et adolescents évoluent en fonction l’âge. Les nourrissons ont besoin de nutrition, de sommeil, d’attachement, et de stimulation sensorielle. Les jeunes enfants ont besoin de sécurité, de routines, de jeu, d’un soutien au développement émotionnel.

  3. De façon générale, une intervention préhospitalière devrait inclure la prise de signes vitaux à intervalles réguliers (toutes les 5 à 15 minutes). Si les signes vitaux sont anormaux ou lorsque de la médication est administrée, une prise de signes vitaux rapprochée est requise.

  4. Les interventions visant les jeunes enfants sont parmi les plus profitables en termes de santé publique, notamment en raison de leur impact sur le développement du capital humain à l’âge adulte.

  5. 7 sept. 2018 · Voici ces étapes : AVANT le comportement : Déterminer le nom donné à la technique. Déterminer l’emplacement et le délimiter visuellement. Déterminer les comportements inacceptables. Déterminer la durée du retrait à l’aide d’un objet ( timer, sablier). Le temps équivaut à une minute par année d’âge de l’enfant.

  6. À cet âge, il est important de préparer son enfant 1 à 2 jours avant l’intervention puisque la notion du temps est différente chez les jeunes enfants. Certains facteurs peuvent générer du stress chez l’enfant : Séparation du parent. Changement dans sa routine. Présence d’inconnus.

  7. Les principes d’action pour guider les interventions. Les interventions de santé publique visant des changements de comportement chez les jeunes s’appuient sur certains principes dont la pertinence est bien démontrée dans la littérature scientifique (12).