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Extrait ajouté par anonyme il y a 7 ans. Justine ou les malheurs de la vertu de Marquis de Sade. Il y avait six mois que j'étais dans cette maison, servant de temps en temps aux insignes débauches de ce scélérat, lorsque je le vis entrer un soir dans ma prison avec Suzanne. Mod/Suppr.
La Marquiſe faiſait tout au monde pour ramener ſon neveu aux ſentiers de la vertu ; peut-être y employait-elle trop de rigueur ; il en réſultait que le Comte plus enflammé, par les effets mêmes de cette ſévérité, ne ſe livrait à ſes goûts que plus impétueuſement encore, & que la pauvre Marquise ne retirait de ſes ...
Justine ou les malheurs de la vertu de Marquis de Sade. On vous dit à cela : la vertu est utile aux autres, et, en ce sens, elle est bonne ; car s'il est reçu de ne faire que ce qui est bon aux autres, à mon tour, je ne recevrai que du bien.
Après cette date, on sait que le marquis de Sade, arrêté à Charenton chez les fous, ajouta au moins deux nouvelles versions à sa Justine.
Justine ou les Malheurs de la vertu est le premier ouvrage du marquis de Sade publié de son vivant, en 1791, un an après avoir été rendu à la liberté par la Révolution et l’abolition des lettres de cachet.
Justine ou les malheurs de la vertu de Marquis de Sade. Mr de Corville et sa maîtresse ne peuvent s'empêcher de s'intéresser à cette misérable fille. Ils s'approchent, ils demandent à l'un des gardes ce qu'a fait cette infortunée. Mod/Suppr.
Ô mon ami ! la prospérité du Crime est comme la foudre, dont les feux trompeurs n’embélissent un instant l’atmosphère, que pour précipiter dans les abîmes de la mort, le malheureux qu’ils ont ébloui.
