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La puissance motrice de la chaleur est indépendante des agents mis en œuvre pour la réaliser ; sa quantité est fixée uniquement par les températures des corps entre lesquels se fait, en dernier résultat, le transport du calorique.
Sadi Carnot (1796-1832) publie en 1824 ses Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance ; le principe, dit de Carnot, qu'il y énonce constitue le deuxième principe de la thermodynamique.
Il nous reste à faire quelques réflexions sur l’emploi des gaz permanens et des vapeurs autres que celle de l’eau au développement de la puissance motrice du feu. L’on a essayé à diverses reprises de faire agir la chaleur sur l’air atmosphérique pour donner naissance à la puissance motrice.
2 janv. 2015 · Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer atte puissance : Sadi Carnot : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive.
16 sept. 2009 · Le récent texte BibNum porte sur « la puissance motrice du feu » de Sadi Carnot (1824). Titre quasi-poétique mais qui résume bien la problématique de l’époque pré-électrique ou pré-dynamo : on chauffe avec du feu des chaudières qui font marcher des machines, quelle puissance recueille-t-on ?
Published in 1824 in French as Réflexions sur la puissance motrice du feu et sur les machines propres à développer cette puissance, the short book (118 pages in the original) sought to advance a rational theory of heat engines.
Réflexions sur la puissance motrice du feu. Publication scientifique de Sadi Carnot (1824). L'approche très originale de Carnot s'inscrit dans le cadre de l'évolution technique très rapide des engins à vapeur, à la fin du xviii e et au début du xix e s., en
