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Il y a 1 jour · De John G. Avildsen, 107 mn. DVD ESC Editions. Non, ce n’est pas de Joe Biden dont parle ce film US de 1970, mais d’un citoyen aisé, laissé-pour-compte de la contre-culture, qui va faire justice lui-même, alors que sa fille est à l’hôpital pour overdose. Dans la foulée, il rencontre Joe, un ouvrier réactionnaire et raciste.
- À la télé ce soir: «Paris 2024, cérémonie d'ouverture» ou ...
de John G. Avildsen (1976) Le rêve américain grandeur KO,...
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Il y a 1 jour · Sylvester Stallone. Despite a breakout role in 1974’s The Lords of Flatbush, Stallone wasn’t happy with the roles he was being offered. So he blacked out his windows to focus and wrote several screenplays, one of which turned out to be Rocky. Then he insisted on playing the title role and became one of the breakout stars of the 1970s. In ...
Il y a 1 jour · John G. Avildsen, Walt Mulconery & Bud S. Smith: Columbia Pictures, Jerry Weintraub Productions, Delphi II Productions Columbia Pictures 2 hrs 7 mins The Karate Kid Part II: John G. Avildsen, David Garfield & Jane Kurson Columbia Pictures, Delphi V Productions 1 hr 53 mins The Karate Kid Part III: Steve Yaconelli John G. Avildsen & John Carter
Il y a 3 jours · Un « Joe » prolo, raciste, homophobe, milicien et antigauchiste! "Joe, c'est aussi l'Amérique" de John G. Avildsen (1970), sortie Blu-ray évènement le 24 juillet (ESC Editions) Laurent ...
Il y a 9 heures · de John G. Avildsen (1976) Le rêve américain grandeur KO, dont Sylvester Stallone, à la fois auteur du scénario et acteur principal, fut la vibrante incarnation : ...
Il y a 3 jours · Réalisateur plus connu pour ses hits que furent Rocky et Karate Kid, John G.Avildsen fut au préalable l’auteur de films un peu oublié ayant parfaitement captés l’humeur d’États-Unis en plein bouleversement à l’arrivée des années 70.
Il y a 1 jour · It is ceaselessly tragic to read recollections of Belushi simply vanishing for three days on a mid-production substance-abuse binge; nearly coming to blows with his own driver and bodyguard when they attempt to destroy his hidden contraband; and almost torpedoing the production of his final film, the Aykroyd-co-starring Neighbors, due to his cocaine-fueled hatred of director John G. Avildsen.
