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  1. 6 mai 2016 · La Place des Martyrs ( Sahat al Chouhada’), Place des canons, Place de la tour ( Sahat al Bourj ), Jardins de Fakhreddine … une kyrielle de noms pour désigner une seule et unique place, celle qui est censée être le cœur palpitant de la capitale libanaise. Pour beaucoup de Libanais, elle rappelle un certain 14 mars 2005.

  2. L’invention du pèlerinage de la Tour des Martyrs de Saint-Célestin (1898-1930). Un article de la revue Revue d'histoire de l'Amérique française (Volume 43, numéro 4, printemps 1990, p. 487-647) diffusée par la plateforme Érudit.

  3. 24 mai 2016 · Par Journaliste 2. 24 mai 2016 à 9:42. Observons cette image, c’est la place des Martyrs à Alger, il y a de cela 180 ans. La place est bien dégagée après la démolition de la mosquée Assayyida vers la fin des années 1830, ainsi que Houmat Assiyyaghine (joailliers), Arrssayciyya (الرصايصية), Al-Kissariyya (القيسارية ...

  4. La tour aurait pris l’appellation de « tour des martyrs », au XIX e siècle. Ce nom ferait référence à un épisode des guerres de religion, dont les tourments causèrent de profonds tumultes dans toute la France et spécialement en Ardèche, en plusieurs épisodes, de 1562 à 1598. À Annonay, le chef des troupes catholiques Saint-Chamond mit la ville à sac en 1563.

  5. Ramleh, c'était une ville la plus importante pour la communauté juive aux Ⅸe et Ⅹe siècles. Le nom de la Tour des Quarante Martyrs de Ramleh, selon le récit arabe, provient de quarante musulmans qui y ont été enterrés après avoir été exterminés pour leur foi. Sa forme carrée et ses fenêtres ogivales représentent bien le style d'architecture sarrasine.

  6. Le Monument des Martyrs d' Alger est un monument algérien très symbolique pour ce pays. Il représente les valeureux martyrs algériens qui sont morts lorsqu'ils défendaient leur pays. Neuf mois (du 15 novembre 1981 au 5 juillet 1982) auront été nécessaires à l'édification de cette œuvre architecturale.