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  1. La cloche de détresse est le récit bizarre de la descente aux enfers et dans la dépression d'une très jeune fille. Esther Greenwood, car c'est ainsi qu'elle s'appelle, oscille entre exaltation et désespoir vengeur tant qu'elle vit des moments excitants à New York.

    • Critiques

      L’atelier de peintre de Glenn Delâge baigne dans une...

    • Citations

      (Cléopatre assiste à la célébration de la crue du Nil avec...

    • Sylvia Plath

      Plus tard, en 1963, elle décrit dans son roman...

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      Listes sur La cloche de détresse de Sylvia Plath Autrices...

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      La cloche de détresse 98 critiques 224 citations. Ariel 20...

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      La cloche de détresse, Sylvia Plath À lire - Sylvia Plath,...

  2. La Cloche de détresse (titre original : The Bell Jar) est l'unique roman de la femme de lettres américaine Sylvia Plath, tout d'abord publié sous le pseudonyme de Victoria Lucas en 1963, un mois avant la mort de son autrice.

  3. La cloche de détresse, titre emblématique de lœuvre de Sylvia Plath, est bien plus qu’un simple objet dans le roman. Elle incarne une symbolique profonde et puissante, reflétant les tourments intérieurs de l’héroïne et sa lutte contre la société oppressante dans laquelle elle évolue.

  4. « La cloche de détresse » de Sylvia Plath retraduit sous « La cloche de verre » (également titre d’un roman d’Anaïs Nin) par Gallimard qui réunit pour la première fois en un seul volume, les œuvres essentielles de la poétesse américaine dans sa collection Quarto.

  5. 21 juin 2023 · La Cloche de détresse, ce chant damour à la jeune fille folle, se déroule durant lété 1953, au moment où lAmérique de McCarthy électrocute les Rosenberg. Esther...

  6. Elle glisse peu à peu dans une grave dépression qui la détache des siens, de son corps et de la vie. D’une écriture poétique et torturée, Sylvia Plath raconte son combat féministe mené dans un pays de parfaites ménagères, qui éteint volontiers le génie féminin.

  7. 26 avr. 1977 · De retour chez sa mère qu'elle tient pour responsable de la mort de son père diabétique, Esther sombre dans la dépression. Hospitalisée, elle reçoit un traitement par électrochocs. Les tentatives de suicides la conduisent une nouvelle fois à l'hôpital.