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Définition de Collatéral. Les collatéraux sont les parents d'une personne qui ne font pas partie des individus appartenant à la ligne directe : les frères et soeurs, les oncles et tantes et leurs descendants, cousins et cousines. Textes. Code civil, art. 162 et s, 174, 187, 731 et s., 742, 750 et s. Liste de toutes les définitions.
Collatéral : définition, contraire, citations, traduction dans le dictionnaire de la langue française. Définition : Qui est situé sur...
un collatéral, dit aussi garantie ou sûreté, couvre des risques ; un titre de créance collatéralisé est un type de dérivé de crédit. Dans le cadre d’une opération militaire, un dommage collatéral est une atteinte sur des personnes ou des ressources qui n’étaient pas ciblées par l’opération. En anatomie, il y a des ligaments ...
1 Situé de côté, par rapport à qqch. anat. Se dit d'une branche (vaisseau sanguin, nerf) naissant sur le tronc principal (anton. : terminal ). Artère collatérale. archit. nef collatérale ou n. m. le collatéral ou les collatéraux : bas-côté d'une église. géogr. points collatéraux, situés à égale distance entre deux points ...
Le collatéral (du latin médiéval collateralis, dérivé de latus, « côté ») ou bas-côté, est, en architecture et plus spécifiquement dans l' architecture chrétienne, un vaisseau latéral de la nef d'une basilique, ou d'un édifice à plan basilical. Les collatéraux se trouvent de part et d'autre du vaisseau central.
Héritier collatéral, celui qui hérite d'un parent en ligne collatérale. Substantivement. Un collatéral éloigné. Les collatéraux. 3 Terme de géographie. Points collatéraux, les points qui sont au milieu de deux points cardinaux. Le nord-est et le sud-ouest, le nord-ouest et le sud-est, sont les quatre points collatéraux.
2. ARCHIT. Nef collatérale ou, subst. masc., le collatéral. Nef latérale d'une église moins élevée que la nef principale. Synon. bas-côté. Les collatéraux, d'une hauteur presque égale à celle de la nef centrale [de Saint-Savin], ont de grandes fenêtres en plein cintre (Mérimée, Étude sur les arts au Moyen Âge, 1870, p. 70).
