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  1. www.ville.quebec.qc.ca › plantes-nuisibles-et-dangereuses › berceBerce du Caucase - Ville de Québec

    Berce du Caucase. En raison de son originalité et de ses dimensions, la berce du Caucase a été plantée dans plusieurs jardins. Toutefois, il s’agit d’une plante exotique envahissante et nuisible pour l’environnement.

  2. Plante indigène : plante originaire du Québec; Plante exotique envahissante : plante provenant d'Europe, d'Asie ou d'Afrique du Nord qui, lorsqu'elle est introduite ici, se reproduit avec tant d'efficacité qu'elle menace la végétation indigène. Ex. : berce du Caucase, myriophylle à épis, panais sauvage, phragmite exotique et renouée du ...

  3. De la même famille que la berce du Caucase, le panais sauvage est aussi une autre plante exotique envahissante qui peut causer des dermatites à la peau. Toutefois, celles-ci sont généralement bénignes par rapport à celles causées par la berce du Caucase.

  4. Constitue une nuisance, la présence sur un terrain, d’ ambrosia artemisifolia, d’ ambrosia trifida ou d’ ambrosia psilostachya appelée aussi herbe à poux et de l’ Heracleum mantegazzianum appelée aussi la berce du Caucase.

  5. « berge » : une bande de terrain de largeur variable au pourtour du lac composée de la bande riveraine et du rivage; « construction non permanente » : une structure, une construction ou un aménagement sans fondations autre que le bâtiment principal ou une piscine excavée;

  6. Colonie de phragmites exotiques des Îles de Boucherville. En 2012, la Ville de Québec constatait que le phragmite exotique commençait à envahir les berges restaurées de la rivière Saint-Charles. Sans action concrète, la plante se serait répandue rapidement, au détriment des autres espèces.

  7. Le myriophylle à épis est souvent problématique dans les lacs et cours d’eau, où il nuit aux usages comme la baignade et la promenade en embarcation motorisée. Comment l'éliminer? Pour s’en débarrasser, le myriophylle doit être déraciné complètement. Le couper s’avère être la pire des solutions.

  8. Drains souterrains qui pourraient être associés au fort d’en bas construit par la colonie Cartier-Roberval sur le territoire du Vieux-Cap-Rouge. Photographie Ville de Québec.

  9. La Ville élimine lherbe à la puce lorsqu’il y a un risque de contact avec les citoyens. Dans des milieux très fréquentés, elle traite la plante avec un herbicide. Dans les parcs naturels et en bordure des sentiers, elle affiche des avertissements pour signaler sa présence.

  10. Vieux-Cap-Rouge. Bien drainée et surplombant la rivière, la terrasse sablonneuse sur laquelle est construite l’église de Saint-Félix constituait un emplacement attrayant pour l’occupation humaine. Elle est témoin d’une présence autochtone dès la préhistoire.

  11. Plantes indésirables suivantes, mais sans s’y limiter : berce du Caucase, herbe à la puce, renouée du Japon, roseau commun (phragmite), etc. Emprises de transport et d’énergie: Les emprises de transport et d’énergie doivent régulièrement entretenir leurs espaces pour des questions de sécurité et d’efficacité de leurs ...

  12. Vieux-Cap-Rouge. Les abords de l’église de Saint-Félix ont livré des éléments qui pourraient être associés au fort d’en bas bâti par les Français lors de leur première tentative de peuplement de la vallée du Saint-Laurent. Cette colonie éphémère a été dirigée par Jacques Cartier (Saint-Malo, 1491 – Saint-Malo, 1557), en ...

  13. Matières explosives (ex. : feux d'artifice, fusées de détresse, etc.) Résidus de jardinage, plates-bandes, plantes vivaces non ligneuses. Rognures de gazon. Espèces exotiques envahissantes (Ex. : berce du Caucase, phragmite exotique, renouée du Japon, etc.)

  14. Plantes nuisibles (herbe à poux, herbe à la puce, berce du Caucase, renouée du Japon, roseau commun) Ordures. Placez-les dans des sacs à ordures robustes et bien attachés.

  15. Vivace à croissance rapide, la renouée atteint 2 à 3 m de hauteur pendant l'été. On l’appelle parfois bambou japonais, dû à ses tiges creuses et noueuses semblables à celles du bambou. À la fin de la saison, elle produit des grappes de petites fleurs blanchâtres.

  16. et la berce du Caucase doivent être éliminées rapidement. Cette dernière peut causer de graves brûlures et des précautions doivent être prises pour la manipuler et la détruire. Les pissenlits du voisin ne sont pas des plantes inscrites comme nuisibles, même s’ils ne plaisent pas à tous! Pour en savoir plus, communiquez

  17. Causant des allergies à une personne sur dix, l’herbe à poux, ou Ambrosia, est devenue l'une des plantes les plus problématiques en milieu urbain. Elle prolifère aux abords des routes, des pistes cyclables, des voies ferrées, des terrains vagues et dans les milieux perturbés.

  18. l’enlèvement de l’herbe à poux, de l’herbe à puces et de la berce du Caucase.

  19. Consultez le Guide du tri de la ville de Québec pour connaître l'endroit ou la manière responsable de se débarrasser d'une matière.

  20. www.ville.quebec.qc.ca › citoyens › patrimoineFiche - Ville de Québec

    Le Caucase est un ensemble montagneux de Géorgie, d'Arménie, d'Azerbaïdjan et du sud-ouest de la Russie européenne. Il s'étend d'ouest en est sur environ 1 200 kilomètres, de la mer Noire à la mer Caspienne, est bordé au nord par la dépression de Kouma et au sud par la Turquie et l'Iran.

  21. La maison Bégin-Létourneau, située au 2151, boulevard Père-Lelièvre est le dernier témoin du monde agricole de l’ancienne municipalité La Petite-Rivière (Duberger). Construite dans le premier quart du 20 e siècle, l’édifice présente une authenticité remarquable en lien avec sa typologie architecturale associée, soit la maison ...

  22. www.ville.quebec.qc.ca › citoyens › patrimoineCalèches de Québec

    Dans la première moitié du 19 e siècle, des diligences fermées à quatre roues, tirées par quatre chevaux de race canadienne (celle introduite par Talon), assurent un service de transport en commun entre Québec et Montréal.

  23. www.ville.quebec.qc.ca › citoyens › patrimoineFiche - Ville de Québec

    Il entre dans la carrière militaire à l'âge de 20 ans. Nommé maréchal de camp en 1756, il arrive à Québec le 13 mai de la même année pour servir sous le commandement du gouverneur général Pierre Rigaud de Vaudreuil.

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