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  1. Elles varient selon la gravité de l’acte déclaré répréhensible : le fouet ou les verges (bâtons souples), le marquage à l’épaule d’une fleur de lys au fer rouge, les deux oreilles coupées, le jarret tranché, la peine de mort (pendaison, bûcher ou roue).

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  2. Entendre le fouet claquer sur le dos de Mon esclave est une douce mélodie à Mes oreilles. Ce qui pourrait s’apparenter à une torture du moyen-âge aux yeux des non-initiés, est ici dans Mon Royaume, une merveilleuse expérience teintée de sado-masochisme entre deux personnes adultes et consentantes.

  3. Le fouet étant salutaire, il y a une hiérarchie des parties du corps battues ou comme certains l’ont nommé « une carte du corps battu » : on commence d’abord par les mains, puis les fesses, le dos et en dernier lieu la tête et les oreilles.

  4. Dans mon donjon équipé, garde les yeux baissés, applique mes ordres, prosterne-toi à mes pieds. A chaque instant de dressage, tu me diras « Merci ». Tu ne dois jamais me toucher sans mon approbation. Ne modifie jamais mes ordres. Ne remplace jamais le « vous » par le « tu ».

  5. La flagellation est un acte qui consiste à fouetter le corps humain avec un fouet, des lanières, ou une tige souple, ou encore tout autre objet du même type. Souvent utilisé comme châtiment corporel, dans certains cas comme une torture, la flagellation a aussi des usages religieux ou érotique.

  6. Bien au contraire le fouet est au cœur de la relation esclavagiste subsumée par la création lexicale transformant la totalité des esclaves en compagnons de fouet32. L’usage du fouet à l’égard des esclaves est suffisamment codifié pour pouvoir figurer dans des rites d’inversion maîtres/esclaves.

  7. La flagellation. Elles peuvent se montrer caressantes, glisser le long d’un corps sans laisser d’autre trace qu’un léger frisson. Les lanières du martinet vont et viennent. Elles sont froides et curieusement chaudes à la fois. Et puis le bras s’arme dans un mouvement presque imperceptible.